J’ai reconstitué numériquement, d’après mes souvenirs, la maison de mon enfance. Le regardeur navigue dans cette modélisation sommaire, dans cet espace morcelé, à la rencontre d’une table sans pieds, de murs mouvants ou absents, de formes simplifiées, sans couleurs ni textures. Alors que la maison est vide, les extraits sonores tirés de films de famille semblent lui redonner vie.La spatialisation binaurale semble habiter la maison de ses souvenirs.
Home sweet home (extrait) | Pour profiter pleinement de la vidéo, merci de la visionner avec un casque audio